fin d'une trilogie
Les écureuils de central Park sont tristes le lundi
Katerine PANCOL
"On invente toujours des histoires quand on est amoureux. On invente des rivales, on invente des rivaux. On invente des complots, on invente des baisers volés, des accidents d'avion, des silences qui ne disent pas leur nom, des téléphones qui en sonnent pas, on invente des trains ratés, des courriers qui se sont perdus, on n'est jamais tranquille. Comme si le bonheur était interdit aux amoureux ... Comme si ce bonheur-là n'existait que dans les livres, les contes de fées ou les magazines. Mais pas pour de vrai. Ou alors d'une manière si fugitive qu'il glisse comme l'eau entre les doigts d'une main étonnée de ne rien attraper ..."
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Voilà, je referme ce 3ème tome, avec un soupçon de nostalgie et un grain de déception. Nostalgie car j'aurai aimé avec plus de détails sur les retrouvailles de Joséphine et Philippe, Hortense et Gary; Connaître la rencontre de Becca avec Joséphine, la destinée de Junior... déception car j'ai trouvé des longueurs sans intérêt, comme la vengeance d'Henriette; j'ai meme osé zapper quelques chapitres la concernant ! Toutefois, la lecture reste agréable et fidèle à l'auteure. A vous de juger.
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